mercredi, avril 13, 2005

L'industrie du disque s'apprête à s'engouffrer dans la brèche ouverte par la CNIL sur la surveillance des réseaux

Trois mois ! C'est le temps qu'il a fallu à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) pour étudier la demande du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (SELL) et finalement autoriser, jeudi 24 mars, la mise en place de systèmes de surveillance automatique des échanges de pair à pair.


Jusqu'à présent ni la Sacem, ni la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques) n'avaient entamé de demande officielle d'autorisation de surveillance. "En revanche, l'industrie du jeu vidéo, par l'intermédiaire du SELL, a été la première à demander, et à obtenir de la CNIL, l'autorisation d'utiliser des systèmes de surveillance des téléchargements", savourait le délégué général du SELL, Jean-Claude Larue.

 

Google
 
Web eurenet.blogspot.com